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  • : Le blog de LucileG(43)
  • : Lecture et écriture : deux activités complémentaires qui permettent l'évasion et l'expression. L'objectif de ce blog est de faire connaître et de partager nos informations.
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  • Lucile Gauchers
  • Je me suis mise à l'écriture en Juillet 2008. Déjà parus aux éditions EDILIVRE : 
- À la lumière du pardon (2011)
- Destins - Au-delà des apparences (2012)
- Aimer à en perdre la raison (2015)
Ont suivi : En 2016 : Souffles de vies (éd. Abatos)  - La chanson de Karly (collectif LGO) - En 2017 : La dernière à rester et Piégé (auto-édition) - Déviances (éd. Abatos) - Tome 1 de l'album jeunesse : Les découvertes de Colin et de Coline (auto-édition). En mars 2018, le tome 2 : Les découvertes continuent avec Colin et Coline, et prochainement un petit recueil illustré de textes poétiques. Projets immédiats : terminer un roman commencé et les tomes 3 à 5 de l'album jeunesse. Autres projets  : deux romans (l'un en corrélation avec la Dernière à rester, l'autre une fiction historique en Haute-Loire, un troisième tiré d'une histoire). 
Grande lectrice de romans de société et de thrillers psychologiques, j'aime aussi la poésie et la musique.
  • Je me suis mise à l'écriture en Juillet 2008. Déjà parus aux éditions EDILIVRE : - À la lumière du pardon (2011) - Destins - Au-delà des apparences (2012) - Aimer à en perdre la raison (2015) Ont suivi : En 2016 : Souffles de vies (éd. Abatos) - La chanson de Karly (collectif LGO) - En 2017 : La dernière à rester et Piégé (auto-édition) - Déviances (éd. Abatos) - Tome 1 de l'album jeunesse : Les découvertes de Colin et de Coline (auto-édition). En mars 2018, le tome 2 : Les découvertes continuent avec Colin et Coline, et prochainement un petit recueil illustré de textes poétiques. Projets immédiats : terminer un roman commencé et les tomes 3 à 5 de l'album jeunesse. Autres projets : deux romans (l'un en corrélation avec la Dernière à rester, l'autre une fiction historique en Haute-Loire, un troisième tiré d'une histoire). Grande lectrice de romans de société et de thrillers psychologiques, j'aime aussi la poésie et la musique.

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17 mai 2012 4 17 /05 /mai /2012 16:14

Cette année, l'Union des écrivains de Rhône-Alpes organise, pour la deuxième année consécutive, une exposition au Fort-de-Vaise, à LYON 9° (Rhône) : "Plumes et pinceaux" alliant le graphisme et les couleurs aux mots. Les peintres participants ont bien voulu confier leurs toiles du 11 au 20 mai, tableaux illustrés par un certain nombre d'auteurs adhérant à l'UERA.

   

Le vernissage a eu lieu le samedi 12 mai 2012 à partir de 18 h au cours duquel de nombreux visiteurs - amis de peintres et d'écrivains, ou non -, ont pu partager leurs impressions.  

 

Les 23 et 24 juin prochain, cette même exposition sera transportée à Grézieu la Varenne, petite et jolie commune située à l'ouest de Lyon, à l'occasion de la manifestation pluriculturelle organisée chaque année, à cette époque, par le service culturel de la ville. Puis en Janvier 2013, elle devrait être accueillie à Oullins, commune au sud de Lyon. La ville de L'Arbresle (Nord de Lyon) a sollicité le président de l'UERA pour organiser cette même exposition "Plumes et pinceaux". Les toiles et les textes voyagent autour de Lyon !

 

L'année dernière, l'illustration devait être en vers. Cette année, la prose - poétique ou non - a été mise à l'honneur.

 

Vous trouverez ci-après mes deux textes :

 

 

Magie de la danse de Lucile Gauchers - Tableau d'Odile Daventure : Flamenco
  
Le rythme entraînant des notes de musique, grattées par des doigts experts et agiles sur les fils tendus des guitares, donna soudainement vie au couple de danseurs qui devait se produire devant la population en liesse. Tout à coup, les spectateurs se figèrent en retenant leur souffle. Ils semblaient s'attendre à l'inimaginable...
  
La femme était très belle. Ses cheveux noirs, tirés et rassemblés en un chignon, arboraient une fleur écarlate et épanouie semblable à sa bouche pulpeuse, qui, tour à tour, s'ouvrait sur un sourire ravageur et se refermait dans une moue boudeuse, au gré des paroles prononcées par les chanteurs-musiciens. Quant à l'homme - magnifique dans son pantalon noir qui l'enserrait comme une seconde peau -, il la dépassait d'une bonne demi-tête. Son regard de braise, rivé sur sa cavalière, semblait vouloir la dominer et la soumettre.
  
Devant ce spectacle inédit pour moi, je me sentais transportée et émerveillée. Je m'imaginais virevoltant dans la même longue robe rouge à pois noirs, aux multiples volants, et si parfaitement ajustée au corps sculptural de cette danseuse andalouse. Les mouvements collés des danseurs, la vivacité des gestes effectués pendant ce long corps à corps et leurs regards énamourés évoquaient, à mes yeux, l'accouplement de deux êtres fiers et passionnés. À leur vue, un frisson voluptueux me parcourut et me fit trembler de désir animal.
  
L'homme semblait diriger sa partenaire avec autorité. Mais elle, farouche et hautaine, prenait plaisir à se dérober pour mieux le rejoindre, au gré de ses envies. La main sur une hanche, et l'autre dressée en une gracieuse courbe au-dessus de sa tête au port altier, semblaient le provoquer. Il répondait à son invitation en s'enroulant autour d'elle, lui empruntant les mêmes gestes.
 
Les rythmes musicaux et les chants déferlaient dans leurs variétés, tantôt élégants, tantôt endiablés et même langoureux, pour laisser évoluer trois danseuses différentes dans un même corps. Les petits pas de danse, lorsqu'ils étaient savants et raffinés, rappelaient ceux de la musulmane - tout à son bonheur mondain -, qui voulait être admirée. Quand les mouvements de danse devenaient subitement plus vivaces et joyeux, c'est la danseuse gitane qui s'animait et nous invitait à partager son appétit de vivre et sa jouissance communicative. Puis, lorsque la musique devenait langoureuse et les chants plaintifs, la femme se transformait dans les bras de son cavalier en danseuse juive, pathétique et tendre, qui nous émouvait. L'homme se prêtait de bonne grâce à ces changements inopinés, en fin connaisseur. Trois cavalières en une, quelle aubaine !    
 
Pendant ce temps, tout s'était estompé autour de moi, obnubilée comme je l'étais par le couple de danseurs. Je me voyais déjà danser avec eux après avoir entrainé avec moi mon amant imaginaire. La magie de la danse avait opéré.
 

 

De Charybde en Scylla d'après le tableau de Marc Wallerand "Tournesol" (type de peinture "le rondisme")

Mon misérable regard est rivé sur l'immense oeil bleu d'azur dans lequel se reflète un mas provençal, aux tuiles rougies, bordé d'arbres au feuillage d'un vert éclatant - véritable havre de paix niché dans la nature renouvelée et bienveillante.

 
Sa prunelle limpide, et aiguisée telle un rayon laser, sonde mon coeur, fouille mon esprit et plonge dans l'abîme sans fond d'où mon âme tourmentée cherche en vain à s'échapper. L'oeil me fixe intensément et semble vouloir m'inviter à partager sa prison dorée ceinte par les milliers de corolles jaunes au coeur tendre qui ondulent paisiblement sous le souffle tiède de la brise méditerranéenne.
 
Cette couronne fleurie forme comme un rempart qui le dissimule des regards hostiles et envieux. Je suis inexorablement attirée dans le faisceau de son redoutable champ magnétique qui ne permet aucune fuite, aucun retour en arrière. Il me tire et me retire de mon enlisement désespéré, par la puissance de son aimant.
 
De la sombre Charybde d'où j'émerge enfin, je me laisse engloutir en Scylla, lac bleu qui miroite au coeur de cette multitude de tournesols dont les têtes, tournées vers le chaud soleil du sud, semblent implorer, pour mon salut, le Dieu du Ciel.

 

 

Bonne lecture. N'hésitez pas à donner votre avis. MERCI

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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4 décembre 2011 7 04 /12 /décembre /2011 08:46

Difficile choix pour les téléspectateurs, hier soir samedi 3 décembre 2011 !

 

En effet, sur TF1 : l'élection en direct de Miss France, synonyme d'évasion - sites touristiques idylliques -, de beauté - toilettes, coiffures  et maquillage -, de faste, de lumière, de gloire... pour choisir la représentante de la France tout au long de l'année 2012, dans diverses manifestations... mais aussi de déception pour les candidates non sélectionnées, alors que se déroulait sur France 2, la soirée consacrée auTéléthon et à l'appel aux dons pour aider la recherche médicale.

 

Pourquoi choisir la même date ?

Pour être certain que les téléspectateurs se rendront disponibles en masse devant leur poste de télévision, au moins un weekend, avant la ruée dans les magasins pour effectuer leurs achats de fin d'année ? Et aussi pour que les salles de cinéma, les restaurants, et tout autre lieu de loisirs du samedi soir ne soient pas trop souvent désertés ?

 Pour mesurer l'audience et comparer les résultats entre les deux chaînes ? Baromètre, qui a remporté le meilleur taux d'écoute ce soir-là ?

 

La frivolité d'un côté... et un grave sujet de l'autre :

D'un côté, des jeunes filles bien portantes, bien proportionnées, radieuses, avec un sourire éblouissant, et un regard pétillant d'espoir à la pensée d'être l'élue !    

De l'autre, l'image d'enfants et d'adultes atteints par des maladies peu courantes et handicapantes, plaçant tout leur espoir dans la popularité d'hommes et de femmes qui font appel à la solidarité et à la générosité des citoyens dans le but de recueillir beaucoup d'argent destiné à la recherche médicale.

 

D'un côté, voir la réalisation d'un rêve impossible pour le plus grand nombre - des jeunes filles tout aussi belles et intelligentes, qui auraient certainement souhaité être à la place des candidates, ou qui ne sont pas adeptes de ce type de concours !

De l'autre, participer à la mesure de ses possibilités, et dans l'ombre, aux progrès de la médecine, pour diverses raisons telles que pur altruisme, compassion, mais aussi parce que dans l'entourage - familial ou amical -, des cas sont particulièrement émouvants, voire dramatiques.

 

Certes, il en faut pour tout le monde. Je ne me permettrais pas de juger les choix et les décisions. Cependant, j'ai lu ce matin dans le commentaire d'un internaute relatif à l'élection de Miss France, qu'il est "indécent" de faire côtoyer ces deux manifestations le même jour. Sa réflexion m'a interpellée, même si je considère ce terme un peu fort.

 

De quoi méditer en ce mois de décembre, avec la prochaine fête de la lumière partout en France - qui demande aussi beaucoup de moyens financiers -, avec les préparatifs coûteux des fêtes de fin d'année... mais aussi avec l'existence de nombreuses personnes exclues - manquant de ressources financières décentes, solitaires, malades... en quelque sorte les oubliées des classes moyennes et des nantis, car la crise économique, déjà plus difficile au quotidien pour elles, sera davantage mal vécue. Les associations caritatives locales savent bien que certaines familles préfèrent se confiner chez elles par dignité, ou n'osent pas se rendre dans les restaurants du coeur, et j'en passe...

 

La solidarité, la générosité, le partage, l'attention, l'écoute, la compréhension, la tolérance... sont affaire de tous, chaque jour, pas seulement lors de quelques journées médiatisées.

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1 août 2011 1 01 /08 /août /2011 16:38

Je ne connais pas Emmanuel Fouquet et ne l'ai pas rencontré moi-même ! Cependant, j'ai apprécié d'apprendre qui il est et ce qu'il fait.

Je vous fais partager ce que j'ai lu à son sujet.

Avant d'être un adaptateur pour le cinéma - métier qui consiste à "traduire" en français les dialogues de films étrangers dont il a fait son activité professionnelle -,  Emmanuel Fouquet est d'abord un poète. Il a commencé à composer des poèmes dès l'âge de quatorze ans, et cinq ans plus tard il publie son premier recueil. C'est lors d'une rencontre dans le milieu de la création littéraire que Michel Trouillet - que le hasard met sur son chemin -, lui propose de travailler pour la "synchro".

 

Homme de paroles et de dialogues, Emmanuel Fouquet explique, lors d'une rencontre avec Pierre Corneloup, journaliste, en quoi consiste ce métier :

 

1) Le repérage

Ce premier travail était autrefois confié à des "détecteurs". Il consiste à inscrire au crayon, sur la bande de rhodoïd (1), des repères tels que plan de coupe, ouverture et fermeture de bouche des acteurs, soupirs ... jusqu'à la longueur des baisers ! Ces inscriptions doivent correspondre avec précision au défilement de l'image projetée sur un écran placé au-dessus des deux grosses bobines (machine fabriquée à Epinay par Guy Desdames).

2) Sculpture du texte

Il s'agit du travail d'adaptation des paroles qu'il repère en traçant des inscriptions sur la bande de rhodoïd. L'acteur aura sous les yeux la bande manuscrite pour le doublage. Des indications supplémentaires apportent des précisions aux dialogues ainsi traduits, telles que la forme de l'écriture, la zone plus ou moins longue, la grosseur donnée à certaines lettres ou parties de mots.

3) Exemple de traduction

Les répliques de Woody Allen sont bourrées de jeux de mots intraduisibles qui obligent les traducteurs à en inventer d'autres en français. Cependant ces mots français doivent "rentrer en bouche"* de l'acteur (*en jargon du métier), c'est-à-dire qu'ils doivent s'inscrire dans le temps de parole et correspondre aux mouvements des lèvres du comédien doublé.

4) Autres obligations

- Connaître et comprendre la discipline professionnelle ou sportive dont parle le film à traduire, à l'aide de dictionnaires appropriés, jusqu'aux coups de fil donnés parfois aux fédérations sportives concernées pour obtenir de plus amples précisions lorsque le personnage est un champion sportif, ou bien à des amis médecins pour la préparation, par exemple, du doublage de la série Urgences !

- Veiller aussi à respecter le rang social des personnages pour que la traduction soit la plus adéquate possible, comme par exemple : "I don't know", prononcé par un Lord anglais, en remplaçant la traduction littérale "J'sais pas" par "Je l'ignore" !...

5) Le travail se poursuit dans le studio d'enregistrement du doublage

Le comédien cale ses paroles à l'image projetée, en lisant la bande manuscrite réalisée auparavant. Emmanuel a souvent en tête le visage d'un acteur précis lorsqu'il effectue l'adaptation d'un film. Il écrit en pensant à ce comédien (ou comédienne) et le propose même à la production. C'est d'ailleurs souvent son choix qui prévaut.

6) Qualification de la profession

Traduire les dialogues de films étrangers en français devient donc un véritable travail de réécriture - presque une re-création. D'ailleurs la SACEM - interlocuteur "historique" car le premier apport en image fut la musique au temps du cinéma muet -, donne la qualification d'auteur à ce métier. La rémunération est basée sur des forfaits : quinze jours pour l'adaptation d'un film ; un mois pour un "grand film". De plus, en tant qu'auteur, des droits lui sont versés à chaque rediffusion.

7) Juste récompense

Pour Emmanuel Fouquet, ce serait justice de créer un César du "meilleur adaptateur" - il existe bien un Molière de l'adaptation théâtrale ! Mais pour l'instant, le nom de l'adaptateur figure quelquefois au générique - certes en toutes petites lettres et en fin de liste !

 

 

Article de Lucile Gauchers d'après les propos recueillis par Pierre Corneloup - Magazine "Vie nouvelle" n° 164 - août/septembre 2011.

 

J'espère que ce portrait d'Emmanuel Fouquet, poète et adaptateur de films, vous aura intéressé.

 

 

 

 

 

 

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21 juin 2011 2 21 /06 /juin /2011 16:59

Compte-rendu du Président de l'UERA, Michel Loude

 

LES Z’ARTS A GREZIEU : UN FRANC SUCCES.

 

Un événement d’importance a eu lieu samedi 18 et dimanche 19 juin dans notre village : les Z’Arts à Grézieu dont la notoriété s’accroît d’année en année au vu de l’affluence constatée.

Cette 3° livraison, pleine d’invention, a marié littérature et peinture. Au Centre d’Animation,  à l’initiative de l’Union des écrivains de Rhône-Alpes, dont le siège se trouve à Grézieu, chaque toile exposée a été le prétexte d’un poème. Les artistes invités sont tous des professionnels de haut niveau, dont la notoriété est bien connue au-delà de nos frontières, et ce fut donc, pour Grézieu, un honneur que de les recevoir… A côté de leurs aînés, les enfants du Centre scolaire Lamarque, sous la houlette de Madame Dal Ferro, ont présenté une troupe d’éléphanteaux sous forme de masques, ruisselants de perles de verre et de couleurs chatoyantes…. Un superbe travail d’art premier !..  Jacques Dekerle, grézirois de longue date, lui aussi, connu urbi et orbi  exposait, hier, pour la première fois chez lui ! Une reconnaissance pleinement justifiée qui démontre, si besoin était, la richesse artistique de nos cantons !

A la Tour ronde, peintres et sculpteurs se partagèrent l’espace envoûtant de ce lieu médiéval, intime, mystérieux qui séduit tous les visiteurs en quête de mémoire historique.

Tous les artistes se sont plu à reconnaître l’ambiance de sympathie qui a régné dans ce salon, l’organisation exemplaire, et l’accueil chaleureux, ambiance due au travail de longue haleine de l’Adjointe à la Culture, Chantal Varagnat et de toute son équipe ( élus et administratifs ).

De fructueux contacts se sont noués entre le public nombreux et les artistes ; certains même sollicitent  l’organisation d’une nouvelle exposition à la Tour ronde sans attendre l’an prochain ! Heureux présage !

La Culture doit être un élément déterminant, vivifiant, dans une politique municipale bien comprise : non seulement elle est une animation sociale pour tous, mais  elle contribue aussi à l’élévation spirituelle des citoyens toujours en quête d’une ascèse de la perfection, quoi qu’on en dise !

 

VIVE LA QUATRIEME   EDITION

 

                                  MICHEL  LOUDE.

 

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4 juin 2011 6 04 /06 /juin /2011 10:13

Les actifs ont peut-être pu bénéficier d'un long week end pour l'Ascension - désolée pour celles et ceux qui ont travaillé vendredi, et qui travaillent encore ce week end ! Après un mois de mai qui a frisé la canicule (Cf. sécheresse préoccupante pour les agriculteurs et éleveurs), la pluie et le froid sont au rendez-vous pour ce début du mois de juin. Si la météo est prévisible, elle n'est malheureusement pas maîtrisable ! Alors, l'adage "faire la pluie et le beau temps"  ne s'applique pas vraiment à nous - pauvres humains -, au sens propre du terme. Pluie, la nuit, et soleil la journée ! Ce serait trop beau ...

En revanche, nous pouvons occuper notre temps comme bon nous semble, et selon nos moyens. Par exemple, pour celles et ceux qui sont de mariage, on se console avec  "Mariage pluvieux, mariage heureux"  ! Oui, mais pour combien de temps ! Allez, souriez, le jour de son mariage, c'est jour de fête - Carpe diem !  Il y a aussi les ballades à la campagne et dans les bois, avec un bon Kway, un imperméable et/ou parapluie, sans oublier les chaussures bien étanches et confortables, et pourquoi pas, le bâton du randonneur. Et puis, le farniente, vous connaissez ! Un petit week end pour se reposer, faire des mots croisés, lire des romans, regarder la télévision ou des DVD, écouter de la musique, ... la liste n'est pas limitée !

 

Sur l'activité littéraire, je n'ai, pour l'instant, pas grand chose à dire, Clémentine, notre secrétaire à l'UERA se chargeant d'annoncer, aux adhérents, les événements littéraires. Alors à tous, je souhaite un bon week end, sous le soleil ou la pluie, - qu'importe -, du moment que nous sommes avec les personnes qui nous aiment et que nous aimons !

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29 mai 2011 7 29 /05 /mai /2011 20:38

Au cours de la semaine, je publierai des photos et des articles sur quelques auteurs que j'ai rencontrés lors du salon du livre. Je n'ai pas pu collecter des renseignements sur tout le monde, faute de temps puisque j'exposais aussi. Cependant, j'ai bien failli ne pas pouvoir participer au salon !

 

En effet, j'ai dû me rendre, le matin même, au centre Chronopost à Décines pour récupérer mon colis, alors que l'étiquette comportait bien l'adresse complète et le nom de ma mère, chez qui j'avais demandé à faire livrer mes livres. Donc je confirme que l'expéditeur a libellé correctement son envoi, et qu'il y a bien eu une faille lors des deux livraisons, - début mai (en colissimo) et fin mai (en chronopost) ; je vous renvoie à mon avant-dernier article "Ah la poste et les transporteurs associés"  ! Heureusement que la commune de Décines n'est pas trop éloignée de Pusignan ! ...

 

Vous vous demandez peut-être quelle faille quand la livraison aurait dû s'effectuer dans une résidence pour personnes âgées, comportant quatre-vingts petits appartements, avec un hall comme celui d'un hôtel, le bureau de la directrice, du secrétariat ainsi que le bureau des infirmières etc ... et les boîtes aux lettres à l'intérieur ; immeuble dont la double porte d'entrée est vitrée, mais fermée pour raison de sécurité. Pas d'interphones individuels, mais un interphone général, avec une pancarte indiquant qu'il faut sonner et s'annoncer. Alors, cherchez l'erreur ! Certains résidents font livrer leurs courses sans problèmes (épicerie, surgelés). Les locataires reçoivent leur courrier, leurs revues, leurs petits paquets dans leur BAL individuelle, et le secrétariat récupère les éventuels colis plus importants. Le motif de non livraison restera un mystère, et j'ai abandonné l'idée d'envoyer une réclamation. À quoi bon perdre son temps, puisqu'au final, j'ai pu récupérer mon colis à temps - même si je suis arrivée à la salle de l'Odyssée avec une demi-heure de retard !  

 

À bientôt pour la suite ...

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26 mai 2011 4 26 /05 /mai /2011 05:56

J'espère que je recevrai les exemplaires de mon roman à temps ! Figurez-vous que mon colis n'a pas été distribué À DOMICILE comme prévu, et qu'il est reparti chez l'expéditeur. Ggrrr !

Non seulement, il n'a pas été livré, mais l'avis de retrait, pfff, parti dans les oubliettes et non dans la boîte aux lettres. Difficile d'aller chercher le paquet dans ces conditions ! Et ce n'est pas la première fois !

Mains et pieds pour conduire le véhicule, en fait que des automatismes ! Et même plus besoin de chercher la rue avec le GPS ! Mais pour ce qui est de penser et de réfléchir, pas le temps, il faut aller vite, vite, vite, et rogner sur le temps de livraison !

 

Allez, assez rouspété, cela ne changera rien. Espérons seulement que le "second" envoi ne soit que le dernier ! A propos, connaissez-vous la différence entre deuxième et second ?

En utilisant le terme deuxième, il y a une suite. En revanche, l'utilisation de second suppose que la numération s'arrête là. Par exemple, si j'emploie "mon second enfant", cela indique que je n'en ai que deux - pour l'instant ! Mais si je dis ma deuxième fille, je laisse entendre que j'en ai au moins une autre ! Ce sont les subtilités de la langue française, qui la rendent si précise et nuancée ... ! photo2010_0005.JPG 

 

Ce n'était pas le lieu de livraison, mais j'aurais peut-être eu plus de chance d'être livrée dans le beau château de la Belle au bois dormant à Eurodisney !  Il est permis de rêver, n'est-ce pas ! ...

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